Hommage au notaire Philippe Angers (1858-1935), remis à son arrière petit-fils, le réputé M. Pierre Fortin, économiste; sa mère, Marguerite Angers, est née à Beauceville en 1918.
« Le notaire Philippe Angers de Beauceville a publié des choses délicieuses, jadis, dans la revue Le Terroir. »
(Sainte-Marie de la Nouvelle-Beauce, t. 2, Honorius Provost, p. 532)
Né le 27 avril 1858, dans la paroisse Saint-Roch à Québec, Philippe Angers est le fils de François-Xavier Angers (1815-1887), marchand de Lévis, et de Sophie-Claire-Elmina Taschereau (1826-1888), fille du seigneur Antoine-Charles Taschereau de Sainte-Marie de Beauce.
À Beauport, le 17 octobre 1882, Philippe Angers épouse Clarita (Claire) Genest, fille du Dr Pierre Genest et d’Eulalie Foisy, décédée le 4 mars 1913 à 59 ans. Ils sont les parents de : Philippe-Albert (1883-1947), Emmanuel (1884-1887), Berthe Yvonne (1885-1887), Auguste-Réal (1887-1968), Marguerite (1889-1942), Ursuline prisonnière au Japon inhumée à Sendai, Renée (1890-1980), Raoul (1892-1900), Aurélien (1894-1985), missionnaire en Tanzanie de 1920 à 1971, Gertrude (1899-1903). En secondes noces, le 3 septembre 1918, à Montréal, Philippe Angers épouse Estelle Pelletier (1867-1947), fille de Pierre Pelletier et d’Estelle Audet dit Lapointe.
Philippe Angers est le cousin du poète beaucevillois William Chapman (1850-1917). Reçu notaire le 15 mai 1884 (1884-1919, 12 072 actes), il devient registrateur de Beauce (1919-1935) et promoteur minier. En 1897-1898, lors de l’épopée aurifère beauceronne, le notaire Angers est directeur-gérant de la The Gilbert Beauce Gold Mining Co. Cette entreprise prospecte sur les lots de Léry 15-16-17 de 360 acres, site des plus grosses pépites d’or trouvées en Beauce. En 1897, la Compagnie minière Franco-canadienne d’Angers exploite le lot 14 de Léry.
D’autre part, la loi Angers portant sur la disparition des hypothèques inopérantes lui valut, le 5 juin 1931, un doctorat honoris causa de l’Université Laval « dont il était bien fier », se souvient, en 1982, son fils le Père Aurélien Angers. Sans conteste, la petite et la grande histoire beauceronne s’enrichit de ses écrits :
- La revue Le Terroir, de 1924 à 1927 : La Beauce en 1775, à la veille de l’invasion / Benedict Arnold / Invasion du Canada par les rivières Kennebec et Chaudière / Le Parc Montmorency-Laval / La Beauce en 1775 / Le Rapide du Diable / La première messe de Noël à Saint-François de la Beauce en 1765 / Les premiers habitants de la paroisse de Saint-François (Beauce) / Les origines de la Beauce / Le Docteur William Ernest Munkel.
- Les seigneurs et premiers censitaires de Saint-Georges-de-Beauce et la famille Pozer, 96 pages, 1927
- Album Souvenir à l’occasion de la bénédiction du pont de Beauceville, 88 pages, 1932
- Histoire de Saint-Georges de Beauce, Philippe Angers et Robert Vézina, 191 pages, 1935
- Évelyn Bolduc (1888-1939) s’inspirera aussi des recherches d’Angers dans son volume Souvenirs beaucerons et la famille Bolduc, paru en 1938, trois ans après la mort du notaire. En 1980, les Archives Nationales du Québec acquièrent l’essentiel du Fonds Philippe Angers de Mme Marc Angers. Le Fonds Famille Angers (P283) et le greffe du notaire Philippe Angers (CN306, S45) sont aussi conservés au Centre d'archives de Québec de BAnQ.
Me Joseph-Édouard Fortin (1884-1949), fils de Joseph-Télesphore Fortin (1855-1936), est l'ami de Philippe Angers qui écrira : « En 1908, en société avec son père, Édouard fonde L’Éclaireur... ». Selon un petit-fils de J.-T. Fortin, Carrier Fortin à J.-Édouard (1915-2007), le notaire Philippe Angers a fait pression sur le fils du notaire Télesphore Fortin (1818-1901), J.-T. Fortin, pour qu’il vienne établir son imprimerie et son journal à Beauceville. M. Angers publie ainsi dans L’Éclaireur plusieurs chroniques sur l’histoire de la Beauce : pionniers beaucerons, détails de la vie d’autrefois, histoire des routes et chemins, les députés... un véritable canevas de l’histoire régionale. Il est pertinent de se rappeler que ces recherches historiques de Me Angers ont été faites avec les moyens du bord durant les décennies 1920-1930, des années folles à la grande crise économique de l’avant Deuxième Guerre mondiale.
Membre de la Chambre de commerce de Beauceville, Philippe Angers demandera à plusieurs reprises des barrages sur la rivière Chaudière afin de contrer les inondations. En 1932, on installera des estacades aux Rapides-du-Diable.
En plein cœur de Beauceville, au 612 boulevard Renault (cadastre 144 de 1884), l' imposante demeure d’influence néo-Queen-Ann de Philippe Angers avoisine alors le manoir seigneurial de William-Henri Brouage Chaussegros de Léry, lequel est démoli en 1985. Son fils aîné Philippe-Albert Angers pratique aussi le notariat (1907-1947) dans cette résidence.
Le jeudi 21 mars 1935, Philippe Angers décède à Beauceville. Acheté 25$ le 22 avril 1899 par le notaire Angers, l’ancien lot 108 (no actuel 252) du cimetière de Saint-François-de-Beauce revient à la Fabrique en 1953. En 1959, en accord avec l’article 36 de la Loi des cimetières, Valère Cloutier (1893-1973) s’en porte acquéreur. Où est donc passé le monument funéraire d’Angers?
Dans la lignée du notaire Philippe Angers, le notaire Philippe-Albert Angers (1883-1947) épouse Berthe DesRivières (1885-1948). Ils sont les parents de : Anonyme féminin (1910-1910), Édouard (1911-1975), Jacques (1912-1985), Marc (1915-), Aurélien (1921-1922) et Marguerite Angers (1918-1981). En 1943, cette dernière épouse Jean-Paul Fortin (1915-1988), médecin et propriétaire de la Pharmacie Lévis, 81 côte du Passage. Jean-Paul Fortin et Marguerite Angers auront quatre enfants : Pierre (1944-), Raymond (1945-), Suzanne (1948-) et Bernard Fortin (1950-).
Réputé docteur en économie, de l’Université Berkeley, chercheur à l’Institut C.D. Howe, professeur émérite à l’UQUAM, « Pierre Fortin (1944-), récipiendaire de la Médaille d’or du Gouverneur général du Canada, a publié une dizaine de livres, quelque 60 rapports et plus de 110 articles dans des revues et ouvrages scientifiques au Canada et à l’étranger. Ses principaux domaines de recherche comprennent la croissance économique, les politiques monétaires et budgétaires, la politique sociale ainsi que l’économie du Canada et du Québec (…). Selon l’Association des économistes québécois, il a été membre du comité des conseillers économiques du ministre des Finances du Canada et, en 2009-2010, conseiller économique principal du premier ministre du Québec. »
En 2011, il a été fait membre de l’Académie des Grands Montréalais (secteur scientifique) par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. À Québec, en 1966, Pierre Fortin épouse Michèle Beauchamp (1944-), directrice de la télévision française de Radio-Canada. En juin 2006, Mme Beauchamp, sociologue et maître en administration publique, est nommée présidente-directrice générale de Télé-Québec.
Philippe Angers est ainsi l’arrière-grand-père de Pierre Fortin. Bon sang ne saurait mentir :
« J'ai toujours été très fier de mes origines beauceronnes, via ma mère. En fait, si j'étais né plus tard, dans la génération de nos enfants, mon nom serait Philippe-Pierre Angers-Fortin! » (Pierre Fortin, 2016-01-10)
Clin d’œil historique : sans parenté directe avec Pierre Fortin, Thomas Fortin (1853-1933), avocat, député et juge de la Cour Supérieure, est né à Saint-François-de-Beauce. En 1882, il épousera Amanda Fortier (1861-1953). Ils sont les parents du renommé artiste-peintre, Marc-Aurèle Fortin (1888-1970), né à Laval. Riche de culture et d’économie, Beauceville sera la métropole de la Beauce de 1875 à 1930. Philippe Angers est pour toujours une fierté de la vallée et des coteaux de la Chaudière, qu’il a bien campés dans ses écrits. En 1985, Serge Lacasse écrivait : « La rivière Chaudière, l’épine dorsale, le sang des Beaucerons. »
Philippe Albert Angers, Fils de Philippe Angers Marguerite Angers Fortin, Fille de Philippe Albert Anger André Garant, historien, né en 1946 à Saint-Georges de Beauce et résident de Lévis
Né en 1909, l’abbé Honorius Provost, historien, a œuvré toute sa vie à faire connaître Sainte-Marie, sa ville natale, et la Beauce en général.
Ordonné prêtre en 1934, il a d’abord travaillé comme enseignant, puis archiviste au Séminaire de Québec, en plus d’occuper plusieurs fonctions ecclésiastiques soit à Notre-Dame de Québec, à Notre-Dame de la Paix et à Saint-Maxime de Scott.
Cet homme paisible et discret a consacré une grande partie de son temps à la recherche et à l’étude. Il a écrit dans plusieurs revues, journaux, périodiques, bulletins de recherche historique, revues d’université, etc. Il fut l’un des membres fondateurs de la Société Historique de Québec et membre actif de nombreux autres instituts, sociétés, associations oeuvrant dans le domaine archivistique ou d’histoire.
Il a publié plusieurs ouvrages sur la Beauce, dont : Les Abénaquis sur la Chaudière 1948, Sainte-Marie de la Nouvelle-Beauce, histoire religieuse 1967, Sainte-Marie de la Nouvelle-Beauce, histoire civile 1970 et Chaudière-Kennebec, grand chemin séculaire 1974. Au cours de sa longue carrière, il a reçu plusieurs distinctions, dont l’Ordre du mérite de la Chaudière.
En cette période où nous tentons de mettre en lumière les attraits de la rivière Chaudière, nous ne pouvons que nous émerveiller devant le travail colossal qu’a accompli l’abbé Provost. Il a réussi à présenter ce « chemin d’eau » comme l’épine dorsale de nos origines et de l’évolution de notre peuple en abordant autant les aspects géologiques et géographiques de ce lieu de passage, que les aspects ethnologiques, politiques et économiques qui ont influencé le développement communautaire de ses habitants.
Si, comme l’a déjà affirmé le maréchal Foch, « un peuple sans histoire est un peuple sans avenir », on peut se rassurer, car l’héritage d’Honorius Provost constitue un actif important qui nous aide à façonner notre avenir.
Par M. Jean-Marc Labbé, Président du Musée Marius Barbeau.
Photo: M. Jean-Marc Labbé, président du Musée Marius Barbeau et M. jean Provost, neveu d'Honorius Provost.
M. Jean-Guy Breton rend hommage à Mme madeleine Ferron et son conjoint M. Robert Cliche de Saint-Joseph.
La meilleure façon de décrire cette femme discrète et d’allure aristocratique est qu’elle fut non seulement une écrivaine de talent, mais surtout une observatrice perspicace de la société. Ses études en lettres et en ethnographie l’ont d’ailleurs bien préparée à ce rôle d’écrivaine.
Dès 1966, elle publie un recueil de contes : « Cœur de sucre » qui sera réédité à quelques reprises ainsi que son premier roman « La fin des loups-garous », suivi d’un deuxième, en 1971 : « Le Baron écarlate ».
La liste s’allonge ainsi :
En collaboration avec son mari, Robert Cliche, Madeleine Ferron avait écrit, en 1972, un essai ethnographique : « Quand le peuple fait la loi » et en 1974, « Les Beaucerons ces insoumis ». D’ailleurs ces deux essais seront réédités, en 1982, en un seul volume.
On pourrait citer d’autres collaborations à des ouvrages biographiques, ou encore les nombreux articles pour des revues, magazines et journaux.
Elle a fait partie du Conseil des monuments et sites du Québec, de la Commission des biens culturels du Québec, ou encore de l’Institut québécois de recherche sur la culture.
En Beauce, elle fut l’une des fondatrices de la Société du patrimoine des Beaucerons et présidente de la Fondation Robert-Cliche pour la protection du patrimoine des Beaucerons.
M. Jean-Guy Breton Président du C.A. de la SPB Photo: Mme Josée Cliche, fille de Madeleine Ferron et Robert Cliche, M. Jean-Guy Breton, président de la SPB de St-Joseph. Crédit photo: Mme Liette Gilbert
Robert Cliche est à la fois un humaniste et un homme du peuple avant d’être avantageusement connu comme avocat, juge, militant politique et auteur.
Grâce à son style flamboyant, il s’est forgé une solide réputation d’avocat. C’était un orateur d’une grande qualité; il avait beaucoup de prestance, de charisme et un sens inné de l’art théâtral.
En politique, ses préoccupations sociales l’orientent vers le Nouveau parti démocratique en 1963. Son leadership le conduit au poste de chef de l’aile provinciale un an plus tard. Sa carrière professionnelle prend un tournant en 1972 lorsqu’il est nommé juge en chef adjoint à la Cour provinciale. Comme juge de première instance, il siège au Tribunal des petites créances, où il était vraiment dans son élément au contact des gens ordinaires.
Robert Bourassa l’a choisi pour présider une commission chargée d’enquêtes sur l’exercice de la liberté syndicale dans l’industrie de la construction.
Tout au long de sa carrière, il s’implique dans diverses associations et causes à caractère culturel, social et humanitaire. Amateur d’histoire et d’ethnologie, il publie en collaboration avec Madeleine Ferron « Quand le peuple fait la loi »et « Les Beaucerons ces insoumis ».
Il est un des fondateurs de la Société du patrimoine des Beaucerons en 1976. Deux ans plus tard, il crée avec son épouse la Fondation Robert-Cliche afin d’assurer un appui financier permanent à cette société, lui permettant ainsi de mettre en valeur le patrimoine de tous les Beaucerons.
M. Jean-Guy Breton Président du C.A. de la SPBTexte hommage par Mme Linda Champagne, SHS
À Éric Vézina et Kelly-Ann Leclair Vézina ...
Votre grand-père et arrière grand-père, né le 11 octobre 1906 à Saint-Joseph-de-Beauce, a été une mémoire importante de la vie des Beaucerons de par son livre «Histoire de Saint-Georges de Beauce», en 1935. Il a écrit ce volume avec des collaborateurs, entre autres, le notaire historien Philippe Angers (1858-1935). M. André Garant, historien, a mentionné dans son article: «Les chemins de l'histoire qui ont été transmis de première main sont rares, mais d'autant plus crédibles, c'est connu.», en parlant de nos auteurs beaucerons.
Dans le cadre du projet «Au Coeur de notre rivière Chaudière», nous avons consulté son livre édité en 1935 et, avons eu accès à des renseignements précieux pour l'élaboration du cahier historique 2015 «La rivière Chaudière, un chemin d'eau» de M. Roger Gagné, retraité de l'enseignement en histoire et géographie. Donc, nous tenons à faire un hommage à M. Robert Vézina pour sa contribution à mieux nous faire connaître les origines et la vie de nos ancêtres beaucerons. M. André Garant me souligne que M. Vézina été la «bougie d'allumage» pour le livre «Histoire de Saint-Georges de Beauce».
«En 1945, M. Vézina a fondé la Société historique de la Chaudière, ancêtre de la Société du Patrimoine des Beaucerons, avec le Frère Éloi-Gérard Talbot, le curé Labbé de Saint-Éphrem et l'abbé Honorius Provost, archiviste à l'Université Laval.» Tous les quatre hommes présentaient des conférences à leurs dépends afin de donner le goût de l'histoire aux gens. Donc, votre ancêtre a su nous faire honneur en tant que Beauceron d'origine et a laissé sa marque pour plusieurs générations. Nous le saluons pour sa clairvoyance «d'avoir conservé, dans la voûte de son bureau, une grosse valise remplie de documents historiques concernant la Beauce». Le Fr. Éloi-Gérard Talbot et Robert Cliche auraient déposé le tout de cette valise aux archives de Saint-Joseph-de-Beauce, selon les dire de M. Robert Vézina.
Linda Champagne, membre de la Société historique Sartigan, Saint-Georges.
Sources: - M. André Garant, Patrimoine Beauceville, article: Robert Vézina (1906-1989), témoin de l'histoire de Saint-Georges, Beauce Magazine, le 4 décembre 2015.
- M. André Garant, Correspondance personnelle avec Robert Vézina, 9 sept. 1982, 31 déc. 1985 et rencontre à Saint-Georges le 30 juin 1987.
Photo: M. André Garant, historien, Kelly-Ann Leclair-Vézina, arrière petite -fille et M. Éric Vézina,petit-fils, de M. Robert Vézina Crédit photo: Mme Liette GilbertTexte hommage par Mme Anne Dutil, SHS
Homme de chez-nous, Roger Bolduc nous a légué un héritage sans précédent. Journaliste de profession, il exerce son métier avec passion et talent.
Rédacteur en chef du journal régional l'Éclaireur, Roger Bolduc nous présente diverses personnalités de la Beauce issues de tous les milieux. Ainsi, nous apprenons à mieux connaître nos concitoyens et les différentes activités sociales qui contribuent à la vitalité de St-Georges.
Après consultation des documents anciens et la lecture des livres de Messieurs Philippe Angers et Robert Vézina, il entreprend de poursuivre cette recherche concernant le passé de notre ville, si riche en histoire De plus, il explique comment est né l’essor qu’a connu la ville pendant et après les évènements de la guerre 1939-1945.
Roger Bolduc nous raconte les débuts des clubs sociaux (qui étaient pour le moins turbulents), la vie politique municipale couvrant nos quatre municipalités, la vie religieuse, celle de nos institutions scolaires vers les années 1950, notamment la formation des Commissions scolaires; sans oublier la construction de l’hôpital et l’aménagement des terrains de jeux, autant de réalisations que nous prenons tous pour acquises.
Il nous commente l’histoire des débuts du baseball, du tennis, de la balle-molle et de leur importance pour le milieu; également, les compétitions avec les citoyens de la région et ceux du Maine. Il nous dresse un portrait des joueurs pratiquant différents sports et de leur présence lors des compétitions provinciales. En un mot, il nous écrit la trame de l’histoire et nous permet de mieux comprendre notre particularité et notre capacité de s’inventer.
Roger Bolduc a contribué à l’enrichissement du patrimoine culturel de St-Georges, nous permettant ainsi de mieux nous définir et d’en connaître un peu plus concernant ceux qui nous ont précédés. Sa grande valeur vient de ce qu’il a su transmettre à travers ses écrits.
Roger Bolduc, votre travail constitue un apport important et primordial pour les Georgiens et j’aimerais faire part, à vos enfants et petits-enfants, que votre nom demeurera pour toujours gravé dans nos mémoires comme étant celui d’un grand Georgien.
Mme Anne Dutil Directrice Société historique Sartigan St-Georges 2016-05-13 Photo: M. Georges Bolduc, fils de Roger Bolduc et Mme Anne Dutil, directrice de la SHS de St-Georges. Crédit photo: Mme Liette Gilbert Photo: l'équipe de réalisation du documentaire: Mme Linda Champagne infirmière, M. Pierre Fortin économiste, MM Simon Paquet et Jean Maheux de CogecoTV et Mme Linda Loignon, musicienne. Crédit photo: Mme Liette Gilbert Les mécènes qui ont soutenu financièrement le projet « Au cœur de notre rivière Chaudière»
avec la présence de M. André Garant (historien) et M. Pierre Fortin (économiste).
Crédit photo: Mme Liette GilbertGroupe des femmes qui ont organisé la journée du lancement, le 13 mai 2016, des
4 réalisations du projet «Au Cœur de notre rivière Chaudière».
Crédit photo: Mme Liette Gilbert